Depuis l’an dernier, j’ai opté en classe pour un système d’étiquettes réutilisables.
Pourquoi des étiquettes réutilisables ?
– Parce j’en avais assez de devoir toujours refaire des étiquettes collectives. En effet, je ne les réutilise jamais d’année en année parce que je les fais à chaque fois en fonction de ma classe et des propositions de mes élèves.
– Parce que je n’aime pas gâcher du papier à tort et à travers même si c’est pédagogiquement justifié et surtout quand on peut faire autrement !
J’ai donc à nouveau chercher dans ma cervelle en bazar et j’ai créé ces étiquettes réutilisables.
Certaines sont du « recyclage » d’étiquettes vierges fournies avec d’anciens documents TpT. Je les avais imprimées et mises dans une pochette en attendant de leur trouver un job convenable ! Ce jour est finalement arrivé lorsque j’ai décidé de réduire mes affichages au minimum !
Même s’il est plutôt facile de s’en faire soi-même et à son goût sur PowerPoint ou Word, je vous mets tout de même ici un lot d’étiquettes vierges de style « aquarelle » que j’avais créé il y a quelques mois ;-). Il suffit de les imprimer en mode 2 feuilles par page, de les plastifier et vous aurez un équipement de départ ! 😉
Comment je m’en sers ?
Lors d’un travail (collectif ou en demi-classe) de vocabulaire, grammaire, numération … ou n’importe quoi d’autre, je prends avec moi ces étiquettes que j’ai imprimé de 3 tailles différentes :
– les petites me servent souvent en maths pour les nombres
– les autres en français pour les syllabes, les mots …
Je prends aussi avec moi mes crayons Woody, ces crayons XXL tout-terrain effaçables au chiffon humide et qui ne laissent absolument aucune trace même après des mois d’utilisation (contrairement aux feutres d’ardoises).
Sur chaque étiquette je note une des propositions des élèves (et comme je ne suis plus « limitée » en papier, je peux noter sans modération !).
On garde tout cela bien au chaud, nous l’affichons quand c’est nécessaire et, quand nous avons fini notre séquence de travail, on efface et on les range pour pouvoir recommencer à les utiliser au cours d’un nouveau projet.
Grâce à ces étiquettes, je respecte ce que j’appelle la règle des « 3 Ecos » :
– Économie de temps car les étiquettes sont faites en temps réel avec/par les élèves et non plus en différé, le soir chez soi 😉
– Économie de matériel car je gâche moins de papier
– Économie d’espace car je n’ai plus besoin de trouver où stocker les centaines d’étiquettes créées chaque semaine, mois, période …
Et vous, vous avez des petites astuces pour les « 3 Ecos » ? 😉
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